Résumé :
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Je m’appelle Nessim Taïeb, poète et psychanalyste, prince de la vie et de la misère, joyeux au bourbon Quatre roses, incarnant tantôt l’hystérie du diable, tantôt le fol espoir de la mort ; parfois prophète pour certains et parfois étourdi de bonheur au petit matin, je peux dire des paroles de lumière, mais je sais aimer et haïr. Ethno-polar foisonnant au ton unique qui fit date lors de sa parution en 1993, Saraka Bô (sortir les offrandes en bambara) raconte à partir de meurtres de bourgeoises chic le désastre de la perte des repères et la puissance autodestructrice qu’il peut libérer.
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